Du nouveau dans le sexshop où j’avais vécu « Une rencontre Fessestive ». Dans la boutique, j’achète un magnifique engin en silicone noir, en forme d’avant-bras avec la main pliée dans la bonne position pour me pénétrer le cul, et un beau harnais avec gode amovible, que je fais équiper avec le plus gros gode de la boutique, ainsi que des gants en silicone et de la vaseline.

Ainsi équipé, je vais dans la salle de projection. Devant l’écran où une fille suce des bites et de fait enfiler la chatte, trois banquettes à quatre places et deux fauteuils dans les angles. Six hommes dans la pièce, un sur chaque fauteuil, deux sur chacune des banquettes à l’arrière, la plupart se branlent discrètement, la bite à peine à l’air. Pour ne gêner personne, je m’installe au premier rang, pose le matériel à côté de moi. La projection ne me fait pas bander mais j’enlève pantalon et slip, écarte les cuisses, commence à me branler en pensant à tout ce que je vais me mettre dans le cul.

Au bout d’un moment, l’un des fauteuils se libère. Je vais m’y installer, finis de me mettre à poil, fais ainsi le tour de la salle, attirant des regards et des mains qui commencent timidement à me tâter les fesses, la bite et les couilles. Je propose à tout le monde de m’enculer avec le gode-ceinture, personne ne semblant décidé à me défoncer le fion, je m’enfile le nouvel engin dans le cul où il pénètre comme dans du beurre.

Nouveau tour de salle ainsi équipé, cela intéresse l’un des spectateurs qui entreprend de me ramoner bien à fond. Je lui demande de me fesser et me caresser les couilles, j’ai seulement droit à une gentille tape et à une fugitive caresse. Penché en avant sur un dossier de fauteuil, j’offre mon cul à tous. Un type vient, me ramone à son tour bien à fond, trop même. Je lui donne un gant, lui demande me fister. Bien graissée, sa main entre facilement. Je demande à nouveau de me faire caresser les couilles, cette fois j’y ai droit, ce ne sont plus des caresses mais du ballbusting, ils s’y mettent à deux. Mon fion est tellement dilaté que je ne sens presque plus la main dans mon cul. Je donne un autre gant à mon fisteur, lui demande de me mettre les deux mains ensemble.

Ce fut plus laborieux, il y parvint tout de même tandis que je suçais les bites se présentant à ma bouche, branlais les bites à proximité, recevais enfin une magistrale fessée.

Mon fisteur fatigué et personne n’ayant voulu le remplacer ni me lécher le fion j’ai, toujours à poil, mis le doigt dans un cul, le seul dont le propriétaire à bien voulu enlever le falzar, branlé et sucé des bites dont aucune n’a giclé. Des mecs sont partis, deux ou trois autres arrivés dont l’un ― à moins que ce ne soit une femme ― avec un masque.

Astiquage de bite devant l’écran, je lèche ostensiblement ma main pleine de jus, personne ne réagit plus. Rangements, je me rhabille et pars. Trois jours après j’ai encore le cul sensible.